Dans De l'autre côté du miroir, Lewis Carroll structure son récit comme une partie d'échecs grandeur nature. Chaque personnage correspond à une pièce du jeu, et Alice elle-même commence comme un pion avant de progresser vers son objectif : devenir reine. Cette mécanique influence profondément la narration en imposant une logique stratégique aux événements et aux rencontres.
Le jeu d'échecs dicte le déroulement de l'histoire : Alice avance comme un pion sur l'échiquier, suivant des règles précises qui limitent ses mouvements et interactions. Les autres personnages, tels que la Reine rouge et la Reine blanche, incarnent des rôles spécifiques qui reflètent les stratégies et dynamiques du jeu. Cette approche donne au récit une structure rigoureuse et un rythme particulier, où chaque action semble répondre à une logique échiquéenne.
Le blog que vous consultez explore l'histoire des échecs et mentionne De l'autre côté du miroir dans une chronologie des événements marquants liés au jeu. Cette référence souligne l'importance du roman dans la culture échiquéenne et met en lumière la manière dont Carroll a utilisé les échecs comme une métaphore du voyage initiatique d'Alice.
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