Depuis sa base en Espagne, Olga Esther peint des princesses qui ne veulent pas être princesses, des oiseaux qui pleurent du sang et des crapauds qui se tuent parce qu'on les ignore. Elle utilise le symbolisme des "contes de princesses" pour parler du genre et du féminisme. Elle peint les invisibles, les petites filles oubliées, les petites noblesses de ce monde, mais surtout, tous ceux qui n'ont personne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire