Les échecs féminins se portent bien. Le championnat du monde qui a opposé la tenante du titre, la Chinoise Ju Wenjun (photo ci-dessus), à sa compatriote Tan Zhongyi s’est révélé particulièrement intéressant. Il n’a fallu que 9 parties pour que Ju Wenjun l’emporte sur le score sans appel de 6,5 points à 2,5 et s’adjuge un 5e titre mondial.
Les deux joueuses s’écartaient rapidement des lignes théoriques connues pour
chercher à faire la différence dans des complications alimentées par une prise
de risques nécessaire, l’expression de la lutte de deux volontés comme
l’affirmait déjà le 2e champion du monde de l’Histoire, Emanuel Lasker. Des
positions tendues, des erreurs humaines, des finales difficiles, tout ce qui
fait la beauté des échecs classiques.
extrait du dernier édito d'Europe échecs (cliquer ici pour lire la suite)
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